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Alexander von Humboldt: „A Monsieur le Rédacteur du Moniteur universel“, in: ders., Sämtliche Schriften digital, herausgegeben von Oliver Lubrich und Thomas Nehrlich, Universität Bern 2021. URL: <https://humboldt.unibe.ch/text/1828-A_Monsieur_le-03-neu> [abgerufen am 26.04.2024].

URL und Versionierung
Permalink:
https://humboldt.unibe.ch/text/1828-A_Monsieur_le-03-neu
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Titel A Monsieur le Rédacteur du Moniteur universel
Jahr 1828
Ort Hamburg
Nachweis
in: Staats und Gelehrte Zeitung des Hamburgischen unpartheyischen Correspondenten 37 (4. März 1828), [o. S.].
Sprache Französisch
Typografischer Befund Antiqua; Spaltensatz; Auszeichnung: Kursivierung.
Identifikation
Textnummer Druckausgabe: IV.84
Dateiname: 1828-A_Monsieur_le-03-neu
Statistiken
Seitenanzahl: 1
Spaltenanzahl: 2
Zeichenanzahl: 800

Weitere Fassungen
A Monsieur le Rédacteur du Moniteur universel (Berlin, 1828, Französisch)
A Monsieur le Rédacteur du Moniteur universel (Berlin, 1828, Französisch)
A Monsieur le Rédacteur du Moniteur universel (Hamburg, 1828, Französisch)
[A Monsieur le Rédacteur du Moniteur universel] (Paris, 1828, Französisch)
A M. le Rédacteur du Moniteur universel (Paris, 1828, Französisch)
Baron Humboldt (London, 1828, Englisch; Französisch)
Baron Humboldt (London, 1828, Englisch; Französisch)
Baron Humboldt (London, 1828, Englisch; Französisch)
[A Monsieur le Rédacteur du Moniteur universel] (Zürich, 1828, Deutsch)
A Monsieur le Rédacteur du Moniteur universel (Augsburg, 1828, Französisch)
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A Monsieur le Rédacteur du Moniteuruniversel.

J’ai lu avec la plus grande surprise dans Votrejournal du 7 février, Monsieur, que j’ai ouvertdes cours de géographie physique à Berlin parsouscription, “le cachet se payant trois louis.”Vous donnez cette nouvelle sur la foi d’un jour-nal étranger, qui m’est resté inconnu jusqu’ici.J’ose croire, que toute réfutation est superfluepour la France, où j’ai résidé si longtems: maisle Moniteur étant répandu dans les deux mondes,j’ai pensé devoir signaler la fausseté et l’incon-venance d’une assertion, dont je ne veux pointexaminer les motifs. J’ai ouvert deux courspublics, et en Allemagne, comme en France, onne paye pas, pour obtenir le droit d’assister àun cours public.Agréez, Monsieur etc.

A. de Humboldt.