Wiffenſchaftliche und Kunſt-Nachrichten. Berlin. Zur Beſtätigung der hohen Achtung und Freundſaft, welche Alex. v. Humboldt gegen den verſtorbenen Leon v. Buch hegte, mag auch ein vertrauliches Schreiben des erſtern an Arago dienen, welches ſich in dem von dem Abbé Moigno herausgegebenen Journal Cosmos vom 13. März d. J. findet, und welches wir hier, mit Eclaudniß des Hrn. v. Humboldt, ahdrucken. Er ſchreibt darin: „Mon cher et excellent ami, j’ai une bien triste nouvelle à t’annoncer. M. Léopold de Buch nous a été enleve aujourd’hui, 4 mars, il n’y a que quelques heures, par une fievre que l’on a crue typhoïde. La maladie n’a paru grave que pendant trente-six heure. Rien n’annonçait une perte si prompte et si douloureuse. Il y a peu d’exemples d’un dévouement si long, si actif. si fecond pour les sciences, dont il a étendu les limites. La réforme de la géologie, les heureux changements que cette science a subis, sont en grande partie son oeuvre. C’était avec cela une âme noble et belle; ardent, comme tous les hommes, qui ont laissé une trace lumineuse dans les sciences; bon sous des apparences souvent austères. Gay Lussac et toi, vous l’avez connu dans toute l’individualité de sa physionomie morale. Aussi, M. de Buch était, après moi, la personne qui t’était le plus attachée de coeur et d’âme.” Berichtigung. In dem franzöſiſchen Schreiden des Hrn. Alex. v. Humboldt an Murchiſon, in unſ. geſtr. Z. muß es Z. 8. v. oben ſtatt contenu soutenu heißen.