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Alexander von Humboldt: „Extrait d’une lettre de M. Humboldt au citoyen Lalande, renfermant des observations astronomiques, nautiques et météorologiques“, in: ders., Sämtliche Schriften digital, herausgegeben von Oliver Lubrich und Thomas Nehrlich, Universität Bern 2021. URL: <https://humboldt.unibe.ch/text/1800-Lettre_du_baron-02> [abgerufen am 29.03.2024].

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Permalink:
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Titel Extrait d’une lettre de M. Humboldt au citoyen Lalande, renfermant des observations astronomiques, nautiques et météorologiques
Jahr 1800
Ort Paris
Nachweis
in: Bulletin des sciences, par la Société Philomathique de Paris 2:37 (Germinal an 8 [März–April 1800]), S. 98–101; 2:38 (Floréal an 8 [April–Mai 1800]), S. 109–111.
Sprache Französisch
Typografischer Befund Antiqua; Auszeichnung: Kursivierung; Fußnoten mit Ziffern; Tabellensatz.
Identifikation
Textnummer Druckausgabe: II.4
Dateiname: 1800-Lettre_du_baron-02
Statistiken
Seitenanzahl: 7
Zeichenanzahl: 14254

Weitere Fassungen
Lettre du baron de Humboldt (de Berlin), à Jerôme Lalande (Paris, 1800, Französisch)
Extrait d’une lettre de M. Humboldt au citoyen Lalande, renfermant des observations astronomiques, nautiques et météorologiques (Paris, 1800, Französisch)
Aus einem Briefe an Lalande (Halle, 1801, Deutsch)
Verschiedene Beobachtungen des Hrn. O. B. Raths von Humboldt (Weimar, 1801, Deutsch)
[Brief an Jérôme Lalande] (London, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Ipswich, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Hull, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Chester, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (New York City, New York, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Philadelphia, Pennsylvania, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Boston, Massachusetts, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Washington, District of Columbia, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Newburyport, Massachusetts, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Worcester, Massachusetts, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Leominster, Massachusetts, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Portland, Maine, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Salem, Massachusetts, 1801, Englisch)
[Brief an Jérôme Lalande] (Staunton, Virginia, 1801, Englisch)
Extract of a letter from M. Von Humboldt to Lalande (London, 1802, Englisch)
|98|

Extrait d’une lettre de M. Humboldt au citoyen Lalande, renfermant des observationsastronomiques, nautiques et météorologiques (1).

Instit. Nat. Embarqué le 17 prairial an 7 sur la frégate le Pizarra , nous avons traversé l’Océan heu-
(1) Ces observations font suite à celles que nous avons rapportées dans le n°. 28.
|99| reusement jusqu’au 28 messidor, où nous arrivâmes sur les côtes du Paria. Dans les deuxmémoires que j’ai envoyés au citoyen Delambre, depuis l’Espagne, j’ai consigné les pre-mières observations faites avec le nouvel Inclinatoire de Borda, dans l’Europe méridionale.
J’ai observé que sur l’ancien continent les localités influent plus encore sur l’inclinaisonque sur la déclinaison magnétique. On ne remarque aucune correspondance entre les positionsgéographiques des lieux et les degrés d’inclinaison; j’ai trouvé la même chose dans le nouveaumonde, en transportant la boussole de Borda dans l’intérieur de la province de la Nouvelle Andalousie. Les observations que le citoyen Nouet vous aura envoyées d’Egypte prouverontprobablement la même chose. Les déclinaisons sont affectées aussi par les localités, maisbeaucoup moins. La marche des unes et des autres est beaucoup plus régulière en mer. Je nevous donne ici que des observations dont l’erreur peut s’élever à peine à 15 minutes; avec lasuspension que le citoyen Megnié m’a faite pour la boussole de Borda, j’ai même eu uneexactitude plus grande en tems de calme. C’est dans cette circonstance aussi que l’on peutcompter parfaitement le nombre des oscillations. Si, en les comptant cinq à six fois, et enchangeant l’instrument de place, on retrouve toujours le même nombre, on ne peut douterde son exactitude. Quoique les calmes ne soient pas rares sous les tropiques, je n’ai pu faireen quarante jours que dix observations bien exactes.
lieux d’observations. An 7. latitude. longitude depuis Paris. inclinaison magnétique. force magnétique.
Medina-del-Campo... 73° 50′ 240
Guaderana....... 73 50 240
Férol......... 43° 29′ 0″ 42′ 22″ 76 15 237
en arc
Océan atlantique entrel’Europe, l’Amérique etl’Afrique. 38 52 15 16° 20 75 18 242
37 14 10 16 30 15 74 90 242
32 15 54 17 7 30 71 50
25 15 20 36 67 239
21 36 25 39 64 20 237
20 8 28 33 45 63 236
14 20 48 3 58 80 239
en tems
12 34 3h 32 57 50 15 234
en arc
10 46 61° 23 45 46 40 229
10 59 30 64 31 30 46 50 237
Vous voyez par là combien il faut multiplier le nombre d’observateurs pour avoir beaucoupde données. Il n’y a rien de plus dangéreux pour les sciences exactes que de noyer de bonnesobservations dans une multitude de médiocres. Je me flatte que les dix points de l’Océan que je vous indique pourront servir à re-connoître si les inclinaisons changent rapidement. Les latitudes et longitudes en ont été dé-terminées à la même heure avec beaucoup d’exactitude, avec un sextant de Ramsden, diviséde 15″ en 15″, et par le garde-tems du citoyen Louis Berthoud. Vous verrez avec intérêtque, depuis le 37° de latitude, les inclinaisons diminuent avec une rapidité extraordi-naire, qu’entre 37° et 48° de latitude, elles augmentent moins vers l’Est que versl’Ouest... Je crois avoir observé que, dans la haute chaîne des Alpes calcaires, de petitesélévations au dessus du niveau de la mer altèrent, près de l’équateur, les inclinaisons beau- |100| coup plus que les grandes montagnes dans les Pyrénées et la Vieille-Castille. Je prendspour exemple quatre points placés presque Nord et Sud, à la distance de 24 minutes, dontj’ai mesuré les hauteurs peu considérables.
toises. inclinaisons. oscillations.
Cumana ...... 4 44° 20 229
Queteppe...... 185,2 43 30 229
Impossibile.... 245 43 15 233
Cumanacoa.... 106 43 20 228
Cocollar ...... 392 42 60 229
Borda a cru pendant quelque tems (voyez les questions de l’académie à la Peyrouse) quel’intensité de la force magnétique étoit la même sur tout le globe. Il attribuoit alors le peude différence qu’il avoit appercue à Cadix, à Ténériffe et à Brest, à l’imperfection de saboussole; mais ayant conçu dans la suite des doutes à cet égard, il m’engagea à fixer monattention sur cet objet. Vous voyez que la force ne diminue pas avec le degré l’inclinaison,mais qu’elle varie depuis 245 oscillations en 10′ de tems (à Paris), jusqu’à 229 (à Cumana).Ce changement ne sauroit être attribué à une cause accidentelle: la même boussole fit à Paris 245 oscillations, à Gironne, 232; depuis, à Barcelonne, 245, et à Valence, 235; elle donne,après un voyage de plusieurs mois, le même nombre d’oscillations qu’elle marquoit avant departir; ce nombre est le même en plein champ, dans un appartement ou dans une cave.La force magnétique est donc pendant long-tems la même dans un même lieu: elle paroîtconstante comme l’attraction ou la cause de la gravité. Malgré tous mes soins, je n’ai pu faire des observations de déclinaisons magnétiques bienexactes. Je n’ai trouvé aucun instrument qui permît de les mesurer à moins de 40 minutesprès. Cependant, il est certain que le point de la variation o est déja beaucoup plus avancévers l’Ouest que la carte de Lambert (Ephémérides de Berlin, 1779) ne l’indique. Unetrès-bonne observation est celle de 1775, faite sur le vaisseau anglais le Liverpool, quitrouva 0 à 66° 40′ de long. occid. et 29° de latitud. sept. Il y a deux points sur cette côteoù j’ai observé la déclinaison avec beaucoup de soin, avec une boussole de Lenoir, suivantla méthode de Prony et de Zach (en suspendant une aiguille à un fil, en visant par des mires,et en mesurant avec un sextant l’azimuth d’un signal). Cumana 4° 13′ 45″ à l’Est (en vend. à midi) et une vingtaine de lieues plus à l’Est, a Caripe (capitale des missions des capucins, habitée par les Indiens chaimas et carives)3° 15′ à l’Est. J’ai examiné avec beaucoup de soin les assertions de Franklin et du capitaine JonathanWilliams (transact. of the American society, vol. 3. pag. 82.), sur l’usage du thermo-mètre pour découvrir les bas fonds. J’ai été étonné de voir comment l’eau se réfroidit àmesure qu’elle perd de sa profondeur; comment les bas fonds et les côtes s’annoncent d’a-vance. Le plus mauvais thermomètre d’esprit-de-vin, divisé arbitrairement, mais étant biensensible par la forme de sa boule, ou plutôt sa proportion au tube, peut devenir, au milieude la tempête, la nuit, ou lorsque l’on a de la difficulté à sonder, lorsque le bas fonds’approche insensiblement, un instrument bienfaisant dans la main du plus ignorant pilote.Je ne puis assez inviter le bureau des longitudes à fixer son attention sur un objet aussiimportant. Tout l’équipage de notre frégate a été étonné de voir baisser rapidement le ther-momètre à l’approche du grand banc qui va de Tabago à la Grenade, et de celui qui est àl’Est de la Marguerite. L’observation est d’autant plus facile à faire, que la température de |101| l’eau de mer est (jour et nuit) dans des espaces de 12,000 lieues carrèes, la même, telle-ment la même, qu’en 46 jours de navigation vous ne voyez pas changer le thermomètre leplus sensible de 0,3 de degré de Réaumur. L’eau se réfroidit, dans le voisinage des basfonds, de cinq à six degrés de Fahrenheit, et même davantage. Cette idée de Franklin,oubliée à présent, peut un jour devenir très-utile à la navigation. Je ne dis pas que l’ondoive s’en rapporter entièrement au thermomètre et ne plus sonder, ce seroit une folie; mais jepuis assurer, en me fondant sur ma propre expérience, que le thermomètre annonce ledanger long-tems avant la sonde (l’eau cherchant un équilibre de température et se réfroi-dissant dans les proximités des basses côtes). Je puis assurer que ce moyen n’est pas plusincertain qu’un loch emporté par des courans et nombre de méthodes qu’un long usage arendu vénérables. On ne doit pas croire qu’il n’y a pas de bas fonds si le thermomètre nebaisse pas; mais on doit être sur ses gardes lorsqu’il baisse tout d’un coup. Un pareil avisest bien plus précieux que les petites croix dont fourmillent nos côtes marines, et dont laplupart annoncent des bas fonds qui, ou n’existent pas, ou, comme les huit roches àfleur d’eau près de Madère (voyez la carte de l’Océan atlantique, 1792), sont mal placés.Le moyen de mettre un thermomètre dans un seau d’eau est bien simple. Avec une balance de Dollond et des thermomètres enfermés dans des sondes munies desoupapes, j’ai mesuré la densité et température de l’eau de mer à la surface et dans laprofondeur. Si je ne me trompe pas, vous vous êtes déjà occupé de ce problême (Journaldes Savans, 1775). Comme mes balances ont été comparées à celles du citoyen Hassenfratz (voyez son nouveau travail hydrostatique dans les annales de chimie, an 7), mes thermo-mètres à ceux de l’observatoire national, et que j’ai été plus sûr des longitudes qu’on ne l’estgénéralement, la petite carte que je construirai un jour, sur la densité et température del’eau de mer, sera assez curieuse. A 17 ou 18° de latitude sept., entre l’Afrique et les Indes occidentales, il y a une bande (sans courans extraordinaires) où l’eau est plus densequ’à une plus grande et une plus petite latitude. Voici quelques données sur la température.
Océan entre l’Europe, l’A-frique et l’Amérique. latitude boréale. longitude dumérid. de Paris. température de la surface de la mer.Therm. de Réaumur. température del’atmosphère.
43° 29′ 10° 31′ 12° 18°
39 10 16 18 30″ 12 13
36 3 17 3 0 12 14
35 8 17 15 0 13 16,5
32 15 17 7 30 14,2 13,5
30 35 16 54 0 15 16
28 55 17 22 30 15 17
26 51 19 13 16 15
20 8 28 33 17 16
18 53 20″ 30 5 17,4 17
18 8 33 2 17,9 19
17 26 35 26 18 16
15 22 22 49 15 18,5 20
14 57 44 30 19 17
13 51 50 2 30 19,8 18,9
10 46 61 23 45 20,7 20,3
10 28 66 31 0 21 de 17 à 27
10 29 66 35 sur les bas fonds 17° 8 23
(La suite au numéro prochain). |109|

Suite de la lettre de M. Humboldt au citoyen Lalande.

Je crois avoir eu une très-bonne observation de l’éclipse de soleil du 6 brumaire an 8, à |110| Cumana. J’ai vérifié le tems pendant huit jours; opération souvent pénible dans ces contrées,à cause des orages qui arrivent après la culmination du soleil, et qui font manquer les hauteurscorrespondantes. J’ai eu des hauteurs correspondantes du soleil, bonnes à 1″, le jour mêmede l’éclipse. La fin a été, en tems moyen de Cumana, à 2 h. 14′ 22″. J’ai observé la distancedes cornes, par le passage aux fils dans le quart de cercle, d’après la méthode de La Caille.Je pourrai vous en envoyer les observations depuis la Havane. Le 16 brumaire, j’ai eu unebonne immersion du second satellite de Jupiter, à Cumana, en tems vrai, à 11 h. 41′ 18″, 2:j’observois avec une lunette de Dollond, grossissant 108 fois. J’espère que cette immersionaura été observée à Paris. Les orages qui ont suivi le tremblement de terre que nous avonsessuyé à Cumana, m’ont fait perdre les immersions des 11 et 18 brumaire. Je crois avoir fixé avec assez d’exactitude les longitudes suivantes, déterminées parmon chronomètre de Louis Berthoud , et par le calcul des angles horaires. J’ai aussi dansmes manuscrits beaucoup de distances de la lune au soleil et aux étoiles, mais commentcalculer, quand on a tant d’instrumens à suivre? Cumana , château Saint-Antoine, long. depuis le mérid. de Paris, (en supposant Madrid à 24′ 8″) en tems 4 h. 26′ 4″, latitude 10° 27′ 37″. Puerto-Espana , dans l’isle de la Trinité , long. 4 h. 15′ 18″. Tabago , cap à l’E., long. 4 h. 11′ 10″. Macannao , partie occidentale de l’isle de la Marguerite , long. 4 h. 26′ 53″. Punta-Araya , dans la prov. de Nouvelle-Andalousie, long. 4 h. 26′ 22″. Coche , isle, cap à l’E., long. 4 h. 24′ 48″. Moins exactement: Bocca-de-Drago , long. 4 h. 17′ 32″. Cabo de Tres-Puntas , long. 4 h. 19′ 38″. Carracas , à la Trinité , lat. 10° 31′ 4″ (exactement). Je me flatte que ces positions intéresseront le bureau des longitudes, parce que les cartessont très-défectueuses dans cette partie des Indes occidentales. Les observations de Borda etde Chabert , à Ténériffe et à la pointe des sables de Tabago, me font croire que mon chro-nomètre est excellent. J’ai retrouvé, à 2 et à 5″ près, les positions déterminées par cesnavigateurs. Pendant le tremblement de terre que nous avons essuyé le 4 novembre 1799, à Cumana,l’inclinaison magnétique a changé, mais la déclinaison n’a pas varié sensiblement. Avant letremblement, l’inclinaison était 44° 20, nouvelle division; après les secousses, elle s’est réduiteà 43° 35. Le nombre des oscillations s’est trouvé, en 10 min. de tems, tel qu’il étoit, 229.Ces expériences et d’autres encore paroissent prouver que c’est cette petite partie du globe,et non l’aiguille, qui a changé; car dans les endroits éloignés, où le tremblement de terrene se ressent jamais, (dans la chaîne primitive de granite feuilleté) l’inclinaison est restéeaussi forte qu’elle étoit. Dans quatre semaines d’ici, je serai aux cataractes du Rio-Négro, dans une nature aussigrande que sauvage, parmi des Indiens qui se nourrissent d’une terre argilleuse, mêlée avecla graisse des crocodiles. J’y mène trois mules chargées d’instrumens. La majesté des nuits des tropiques m’a engagé à commencer un travail sur la lumière |111| des étoiles du Sud. Je vois que plusieurs (dans la Grue, l’Autel, le Toucan, les piedsdu Centaure) ont changé depuis La Caille. Je me sers, comme pour les satellites, de laméthode des diaphragmes indiquée par Herschel. J’ai trouvé qui si Procyon est à Sirius comme88: 100, les intensités de lumière sont pour:
Canopus ... 98. α De l’Indien. 50. α du Paon ... 78. 8 .......... 58.
α du Centaure. 96. ζ ........... 47. α De la Grue. 81. α Du Toucan. 70.
Acherner ... 94. α Phœnix .... 65. ζ ........... 75.
J’ai lu dans les transactions de la société du Bengale, que le baromètre y monte et descendrégulièrement en 24 h. Ici, dans l’Amérique méridionale, cette marche est des plus éton-nantes. J’ai quelques observations là-dessus. Il y a quatre marées atmosphoriques en 24 h.qui ne dépendent que de l’attraction de soleil. Le mercure descend depuis 9 h. du matinjusqu’à 4 h. du soir; il monte depuis 4 h. jusqu’à 11 h.; il descend depuis 11 h. jusqu’à16 h. 30′; il remonte depuis 16 h. 30′ jusqu’à 21 h. Les vents, l’orage, le tremblement deterre n’ont aucune influence sur cette marche.